ven. Mar 29th, 2024

Le système d’exploitation pour serveurs de Microsoft, Windows Server 2016, fait maintenant ses preuves depuis plus d’un an dans le cadre d’une utilisation productive auprès d’un nombre toujours plus important de clients. Le support grand public de Server 2012/2012 R2 prendra également fin à l’automne 2018. Alors, est-il temps de migrer vers Server 2016 ? Et quels sont les éléments à prendre en compte ?

Migration de Windows Server 2016 – Conseils, outils et astuces

Bien sûr, la migration est toujours un facteur de coût et il est important de se demander si les avantages justifient l’effort et s’il existe des alternatives. Étant donné que de nombreuses applications sont déjà proposées en tant que services cloud, il est possible d’évaluer et de calculer si vous souhaitez passer directement dans le cloud avant la migration et vous épargner des coûts de licence (avec 2016, basé sur le noyau) ainsi que d’éventuels nouveaux achats de matériel. Étant donné que la migration vers le dernier système d’exploitation de serveur ne doit pas être effectuée pour tous les serveurs du domaine, il est certainement judicieux de considérer les domaines d’application individuellement. Par exemple, si vous avez virtualisé des serveurs Windows ou si vous les faites fonctionner en clusters, vous pouvez bénéficier de nombreuses innovations. La nouvelle variante de déploiement de serveurs Nano ainsi que les conteneurs de serveurs Windows et les conteneurs Hyper-V créés en travaillant avec Docker sont particulièrement intéressants à cet égard.

Windows Server 2016 présente de nombreuses autres caractéristiques, notamment en termes de sécurité, qui démontrent clairement que Microsoft souhaite avoir un impact significatif sur le marché des serveurs pour le cloud et les centres de données. Vous pouvez trouver de plus amples informations sur les nouvelles fonctionnalités de Windows Server 2016.

Quels sont les pièges à éviter lors de la migration vers Windows Server 2016 ?

Bien que Windows Server 2012/2012 R2 puisse être mis à jour directement vers Windows Server 2016, et qu’un assistant d’installation vérifie certaines zones avant la mise à jour, cela ne constitue en aucun cas une garantie de succès. Microsoft recommande une nouvelle installation, mais de nombreux utilisateurs signalent que, dans la plupart des cas, une installation sur place était tout aussi réussie. Avant toute chose, il est important de tester si les applications, les pilotes ou les programmes système exécutés sur le serveur sont compatibles avec Windows Server 2016.

L’une des tâches les plus difficiles consiste à créer un plan clair, afin que les serveurs, en particulier les serveurs uniques, puissent être arrachés sans que les utilisateurs finaux ne remarquent quoi que ce soit ou que l’opération productive soit perturbée.

Outils de migration

En fonction du système d’exploitation précédent et des rôles de serveur à migrer, différentes méthodes et outils de migration d’imprimante (par exemple Microsoft Printer Migration Wizard) sont recommandés. Microsoft propose ici des instructions pour une série de scénarios différents.

Migration du serveur d’impression vers Windows Server 2016

Que faut-il prendre en compte lors de la migration d’un serveur d’impression vers Server 2016 ? Ici aussi, il est important de se demander si vous souhaitez configurer à nouveau le système ou effectuer une migration sur place. En principe, le système d’impression de Windows Server 2016 n’a pas beaucoup changé par rapport à 2012 R2.

Néanmoins, il y a un certain nombre de points qu’il convient de vérifier soigneusement. L’expérience a montré qu’au fil du temps, de nombreux objets d’impression et les pilotes d’impression associés s’accumulent sur les serveurs d’impression. Alors qu’un objet d’impression qui n’est plus nécessaire est rapidement supprimé, les pilotes d’imprimante orphelins restent souvent dans le système. Avant de procéder à la migration, vous devez donc effectuer un nettoyage des pilotes. En outre, les pilotes 32 bits existants peuvent poser problème. Selon le nombre d’objets d’impression, la réinstallation d’un serveur d’impression peut demander beaucoup de travail. Afin de minimiser cet effort, Microsoft fournit un outil de sauvegarde via le système de gestion d’impression, qui vous permet d’exporter tous les objets d’impression, y compris les pilotes et approbations associés, dans un fichier. Ce fichier peut être importé sur le nouveau serveur, ce qui permet de restaurer tous les objets d’impression.

Outil de sauvegarde de Microsoft

Lors de la migration vers Windows Server 2016, un outil de sauvegarde Microsoft vous permet d’exporter tous les objets d’impression, y compris les pilotes et les partages associés, vers un fichier. Toutefois, cette méthode présente un certain nombre d’inconvénients :

Il n’y a aucun moyen d’exclure les objets d’impression.

Les mises à jour des pilotes ne sont donc pas possibles et doivent être effectuées ultérieurement si nécessaire. Aucun moniteur d’impression tiers n’est sauvegardé. La restauration des objets d’impression qui utilisent ces ports échoue donc. Cependant, ces ports sont souvent une condition préalable à l’impression pull ou aux solutions de comptabilité.

Conseil :

Si c’est le cas, vérifiez si l’application dispose de sa propre fonction d’exportation/importation pour les moniteurs d’impression. Si vous restaurez les ports avant l’importation du fichier de sauvegarde, ils seront également connectés aux objets d’impression correspondants. Il suffit donc qu’ils soient disponibles. Une combinaison avec PowerShell est beaucoup plus flexible que l’option purement Microsoft. Le fichier d’exportation généré est une excellente source pour la création d’objets d’impression contrôlée par script. C’est l’une des raisons pour lesquelles on a développé ses services de gestion basés sur PowerShell. Il existe déjà de nombreux exemples de scripts disponibles, faciles à modifier et à personnaliser. Voir ce site https://evok.com/fr/installation-migration-windows-serveur/ tenu par des spécialistes de la migration windows serveur cela vous aidera encore un peu plus chers lecteurs et chères lectrices !

 

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